Extrait du journal de soumission

La journée sous la couette – Partie 1

05/12/2021

Aujourd’hui, je me sens toute fatiguée, la semaine a été éprouvante, la veille, le munch s’est fini vers 1h30 du matin, bref je me sens toute flapie, juste bonne à me blottir toute la journée sous la couette. 

Après quelques conversations téléphonique et la gestions des réseaux sociaux, Mon Maître décide qu’il est l’heure d’aller se doucher, je sens qu’il essaie de cadrer un maximum les choses et que vu mon état, si il ne fait pas ça, il prend le risque que je fasse la larve toute la journée sur le canapé.

C’est super, même si parfois, c’est contraignant d’être prise en charge et de juste se laisser porter.

Après la douche, je m’affale sur le lit, il me demande si je souhaite me reposer, je lui réponds que non sinon je risquai de dormir jusqu’à la fin de la journée. Ni une ni deux, il me demande de me mettre en position de soumission. Je ne suis pas vraiment étonnée car un peu plus tôt dans la journée, Mon Maître m’avait dit qu’il souhaitait s’occuper de moi aujourd’hui. Je vais chercher mon coussin et m’agenouille proche du lit. Il s’approche de moi et pose son sexe sur mon visage, je suis assez étonnée car il fait rarement ce genre de chose. La sensation est chaude et douce, je prend sur moi pour ne pas tenter de le sucer, sur son passage, son sexe me souille le visage de liquide préséminal, et il me le met en bouche pour que je commence à le sucer. Il arrête pour me passer le bandeau afin de m’occulter la vue et se sert de ce dernier pour me demander de reprendre et l’utilise pour s’enfoncer plus profondément dans ma bouche, je hocquette, je bave et c’est à ce moment qu’il en profite pour me bifler violemment à plusieurs reprises. Les coups sont lourds, la douleur est profonde. Il me demande de ne pas bouger et sort de la chambre.

J’attends, étonnée de ce qu’il vient de se passer, cela ne nous ressemble pas, il est très rare que nous jouions de cette manière. Bien que, en écrivant ces lignes je me rappelle qu’au début de notre relation, nous jouions pas mal ainsi. Au loin, j’entends de l’eau couler, je n’arrive pas à discerner si ça se passe dans la cuisine ou la salle de bain. 15 millions d’idées me passent dans le crâne, est-il en train de préparer de quoi faire un lavement ? Scénario qui m’angoisse par l’humiliation qu’il pourrait me faire ressentir, et je sais qu’il en serait capable de par son sadisme. Autre idée me passant par la tête, nous avions parlé à plusieurs reprises de faire du water Play, peut-être est ce ça qu’il prépare ? Cela m’angoisse tout autant mais d’une manière différente. 

Il revient dans la chambre, s’approche de moi pour me passer les menottes, je tente de rapprocher tout doucement mon visage du sien pour tenter de créer le contact et de me rassurer, sans pour autant réellement oser, de peur d’être punie. Je vacille entre peur, étonnement, envie et excitation. Nouvelle surprise, il approche son visage du mien et commence à me mettre des coups de langues, me gratifiant de sa salive, l’instant est doux comme s’ il se délectait de ma saveur. Me voilà recouverte de fluide, le visage collant, cette sensation que je déteste hors séance, m’enchante dans cet instant, il repart, et je l’entends sortir quelques instruments, mes jambes me tirent et je me demande combien de temps encore je vais devoir rester ainsi en position, redoutant la suite des évènements.

Et pour lire la suite il faudra justement attendre quelques jours 🙂

Photo L’individu Photographie

Modèles : WannxLes_ah

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2 commentaires

  1. […] et qu’il y a de petits bruits autour, son imagination va se mettre en route à plein régime (d’ailleurs ce récit en est la preuve) . Le moindre souffle devient une caresse, le moindre bruit de chaînette, une potentielle source […]

  2. […] Pour lire le début c’est par là […]

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