Extrait du journal de soumission Soirées BDSM

Immersion – partie 2

Pour la partie 1 rendez-vous ici

Peu après, Mon Maître décide qu’il est temps de se remettre à jouer, il nous installe dans une pièce qui se ferme avec une porte à barreaux, comme celle des prisons. J’apprécie particulièrement cette alcôve, car elle me donne l’impression d’être protégée et elle me permet de me mettre plus facilement dans ma bulle. 

J’enlève mon serre taille et me met en position, Mon Maître me passe le bandeau, ainsi que les entraves aux poignets, puis installe dans ma bouche un écarteur et me tire par les cheveux pour me faire me dresser. Il fixe mes entraves aux barreaux de la porte et m’ordonne de me mettre en position bien cambrée. 

La flagellation commence avec les fameux foutinets qu’il aime tant, j’encaisse, je serre les dents, il entreprend ensuite de me griffer. Je sens le métal entrer dans ma chair, ce qui me déclenche un profond orgasme. Vient le tour de la badine métallique, qu’il fait bondir sur mes fesses et mes jambes, puis il enchaîne au fouet, là, je me dandine, pousse des petits cris, quiconque regarderait le spectacle de l’extérieur pourrait penser que je souffre, alors que, bien au contraire, dans ce mal, je prends un plaisir indescriptible tellement il est profond.

Au fur et à mesure qu’il me flagelle, j’approche de la grille, et la bave que l’écarteur de bouche laisse échapper crée de longs filets ruisselants jusqu’à mes seins. Ma chatte est à peu près dans le même état mais ce sont plutôt mes cuisses qui commencent à ressentir la moiteur. 

Je me tortille tel un ver à sa merci, ma tête ne pense plus, juste je ressens, tout d’un coup je sens une main s’approcher mes bras, j’entends Mon Maître crier « Non » et faire claquer le fouet, puis un 
« recule » chose que je fais instinctivement. 

Il continue de me flageller aux foutinets, enserrant ma gorge pour m’empêcher de respirer, je commence peu à peu à ne plus ressentir de douleur. Il s’approche, me caresse, je commence doucement à partir mais soudainement, il me détache. 

Je lui murmure que tout va bien et que je peux encore tenir, il me dit préférer arrêter, qu’il est très fier, que j’ai bien tenu, qu’il m’aime. Je me blottis dans ses bras, me met à genoux pour lui baiser les pieds et le remercier puis, l’aide à ranger le matériel. Je me retourne et voit la petite C au fond de la pièce, j’espère que l’instant lui a plu et ne lui a pas fait peur car je connais ma capacité sonore pouvant parfois en inquiéter certains.

Nous allons fumer et je demande à Mon Maître pourquoi il a souhaité arrêter la séance si brutalement, car je me sens extrêmement frustrée vu que je commençais à partir au moment où il a arrêté.

 Il m’explique qu’un homme avait tenté de me toucher au travers les grilles et que ça l’avait mis dans une colère folle donc plutôt que de commettre un impair sur moi, il avait préféré stopper le temps de se calmer, ce qui est tout à fait louable. Il m’explique également que ça l’a fait extrêmement rire quand il m’a vu me reculer alors que l’ordre n’était pas pour moi mais pour l’homme qui avait tenté de m’approcher.

La suite dans quelques jours…

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2 commentaires

  1. […] lire le début du récit c’est par ici : Partie 1 l Partie 2 l Partie […]

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