Extrait du journal de soumission

Devenir chienne – Partie 2

Pour le début du récit c’est par ici

Mon Maître tient mon jouet en hauteur et me demande de faire la belle, c’est dur mais je le fais, c’est le jeu, une partie de mon esprit ce débat, l’autre s’en délecte, je dois attraper le jouet dans ma bouche, il essaie à plusieurs reprises mais malheureusement, je n’y arrive pas… il me demande de nouveau de faire la belle et me pose mon jouet sur le nez, je dois rester ainsi et ne pas le faire tomber, puis le rattraper dans ma bouche. Dans ces instants, plus rien ne compte, je me sens moi, je me sens à ma place, je ne pense plus et j’adore cette sensation. Mon Maître me demande de lui donner la patte, puis l’autre, puis les deux, je trouve ça très amusant. Puis je ne dois pas bouger et rester sur mon coussin, il va se chercher une bière et s’assoit dans le fauteuil, Mon Maître m’autorise de me mettre à ses pieds, il me dit de prendre également mon coussin, j’apporte d’abord mon jouet, puis retourne chercher mon coussin dans ma bouche, comme une bonne chienne.

Je profite des caresses de Mon Maître, il veut que nous jouions à un autre jeu, il me donne une addition et moi je dois donner le résultat en aboyant, pour moi aboyer reste l’une des choses les plus dure à faire….Mais je m’exécute, mon sexe est trempé, je suis en joie et au bord de l’implosion, je mets ma tête sur ses jambes, essaie d’avoir des câlins par tous les moyens possibles, comme une chienne le ferait quand Son Maître est absent toute la journée. Mon téléphone vibre, c’est ma mère….

Mon Maître m’ordonne de décrocher et je dois aboyer une fois pendant la conversation, c’est dur mais je le fais pour le rendre fier…. Il continu ensuite à me câliner et ses mains arrivent enfin sur ma chatte, je me frotte, il se moque à moitié, j’ai honte, mais j’aime me donner du plaisir ainsi, j’aboie dès que je jouis, il est fier, je le sens. Mon Maître me dit que comme une bonne chienne, je dois ramener ses chaussures, qu’il vient d’enlever, à leur place. Ma dualité reprend le dessus, l’envie de lui plaire et de le faire, mon dégoût pour les pieds me hurle de ne surtout pas faire ça. Je le supplie du regard, il est là, infaillible, il ne cédera pas.

Je décide de les prendre dans ma bouche, l’odeur me monte au nez, un mélange de dégoût et d’excitation, je me répugne moi-même et pourtant à ce moment je sens mon esprit léger comme si j’étais en train de faire exactement ce qu’il fallait, comme si quelque chose me murmurait qu’être une chienne et obéir à son Maître est exactement ma place. Il me rappelle, je reviens à ses pieds et j’ai le droit à des félicitations et des caresses, j’ai également le droit de le sucer et je me précipite sur lui, il me prend, me collant la tête sur le miroir, c’est brutal, comme j’adore !

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2 commentaires

  1. […] La porte s’ouvre, il me découvre ainsi, il me dit qu’il ne s’attendait pas à tant, il est fier de moi, je remue de la queue, comme il me l’avait demandé sous ses caresses, il attrape mon jouet, me retire ma laisse car il ne trouve pas que ce soit très pratique dans notre appartement et Mon Maître me dit qu’il va jouer avec sa chienne, qu’il va me lancer pouicpouic et que je devrais le récupérer avant notre chat. Je m’exécute plusieurs fois, j’adore jouer avec Mon Maître, mon excitation est à son comble, je remue de la queue dès qu’il me caresse.Pour la suite rendez-vous ici […]

  2. […] Les deux parties précédentes par ici : Partie 1 l Partie 2 […]

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