Extrait du journal de soumission Soirées BDSM

La petite ballerine – partie 2

Pour la partie 1 c’est par là

Le treuil n’arrête pas de bouger, d’un côté et de l’autre. Je la replace pour entamer une danse à mon tour, je commence à la flageller, flan droit, flan gauche, les impacts la font voler d’un côté et de l’autre. Je me mets à tourner autour d’elle, tout en continuant à flageller, droite, gauche. Cela la stabilise, un impact plus fort que les autres lui fait légèrement perdre cette stabilité et elle se met à tourner dans le sens inverse de ma propre rotation autour d’elle. 

Les coups pleuvent, cette double rotation la couvre totalement de mes assauts. Elle est à deux doigts de jouir, je la vois tremblante. Je l’attrape fermement par la gorge, ce qui la stop net. Je la place, le visage en direction de la porte, une foule s’est amassée, je lui dis « les gens sont en face de toi, jouit devant ces gens, salope ». Un orgasme d’une rare intensité fait presque convulser Ma petite chose suspendue. « Encore », un deuxième orgasme plus petit la calme. Je prends mon fouet en cuir, je me place derrière elle et commence à lui fouetter le cul. Je vois qu’elle encaisse bien, je me permets d’appuyer mes impacts, fesse droite, fesse gauche, SIF. 

Un coup un peu plus intense sur le pli de la fesse la fait partir. C’est le dernier coup, je le sais, je le vois, elle est trop fébrile, elle va partir.

Je la récupère dans mes bras, attrape la commande du treuil pour le faire descendre. Elle part en subspace pendant la descente, sa tête sur mon épaule, je cale mon genou sous ses fesses. Je lui sers de siège, le treuil totalement descendu, je suis tel le chevalier qui attend d’être adoubé avec une princesse inerte dans les bras. 

Je détache le treuil que je fais remonter assez haut pour ne pas le prendre dans la tête et détacher les entraves de Léa. Sindy, une Domina du clair, s’approche doucement et me demande si j’ai besoin d’un peu d’aide, je décline gentiment, j’aime ce côté prévenant qu’il y a dans cet endroit magique qu’est le clair obscur.

 Je m’assois, ce qui allonge Léa, toujours dans son sub, elle est parcourue de petits soubresauts, je vérifie son pouls. Plus pour avoir son rythme cardiaque que pour savoir si elle est morte, son rythme est très calme, serein, c’en est presque hypnotique, comme si j’étais avec elle dans cet état de détente absolue.

Elle émergera presque deux minutes plus tard. C’est notre plus long subspace.

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3 commentaires

  1. Succube Akasha a dit :

    Magnifique récit, j’adore!

    1. Merci 🙂

  2. Great content! Keep up the good work!

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