Pour le début c’est par ici : Partie 1 l Partie 2
Il m’ordonne de retourner prêt du lit et m’y allonge sur le dos, cuisses largement ouvertes.
Je sens, qu’il fait se balader sur moi, un martinet en latex qui servira, probablement, à chauffer ma peau avant des impacts plus mordant.
Je n’ai pas le droit de fermer les cuisses, mais honnêtement, je pense que quiconque, ayant dû tenir cette position, sait que c’est un réflexe naturel de fermer les cuisses lorsqu’un objet tape l’entre jambe.
Ne pas les fermer, c’est comme se battre contre son instinct et ce n’est vraiment pas chose facile. Ou moi, je n’y arrive pas facilement et j’ai encore besoin d’entrainement sur ce point. Ce qui éviterait à mon Maître de devoir me maintenir.
Il sait que les latex ne sont pas douloureux, sauf si on y va fort et il ne se prive pas d’y mettre de l’intensité. Mon Maître me fait, ensuite, me redresser et me tenir à l’anneau se situant au centre du dôme du lit. Je m’exécute, me tourne dans le sens demandé et me cambre pour lui offrir mon corps. Il décide de jouer avec les martinets en câble plastique, leurs sifflements, lorsqu’ils voltigent, crée toujours en moi de l’excitation et de l’appréhension. Les martinets s’enroulent sur mon corps, créant une douleur aigu à chaque fois que le bout s’écrase sur une partie de moi. J’apprécie cette sensation d’enveloppement, je souffle et essaie de me décontracter pour accueillir au mieux la douleur.