Extrait du journal de soumission

Du fantasme à la réalité – Partie 1

20/06/2020

Il y a peu je livrai à Mon Maître un fantasme qui me hante, jouer avec un gode ventouse, pas tant pour prendre du plaisir, mais plus pour l’humiliation que cela pourrait procurer

L’info était prise et Mon Maître proposa de nous rendre dans un sexshop, afin de faire quelques emplettes dont l’objet de mon désir. Il est difficile pour moi d’avouer mes fantasmes, pas par peur du jugement de Mon Maître, plus par crainte de lui montrer une corde sensible de laquelle il pourrait s’emparer.

Nous y voilà, premier sexe shop. À peine arrivé je jette mon dévolu sur un fouet à double cracker en cuir, mais rien du côté de l’objet de mon fantasme. Le fouet est à un prix abordable et nous nous demandons si ce dernier peut nous convenir. Mon Maître me demande de voir avec le vendeur si nous pouvons l’essayer, je pose la question et il nous regarde un peu interloqué, mais acquiesce. Je monte ma robe et laisse apparaître mes fesses, le test est concluant, j’aurai donné beaucoup pour voir la réaction du vendeur.

Il y a quelques années j’aurai été mortifiée à lever ma robe comme ça et me faire fouetter dans un sex-shop, aujourd’hui ça me fait surtout rire, comme quoi depuis j’ai fait du chemin, j’aurai pu avoir honte mais j’en suis plutôt fière. De la même manière, qu’à mes débuts, j’étais incapable de regarder des photos de moi en séance, j’avais honte de me voir ainsi.

Second sex-shop et nous trouvons notre bonheur, un gode ventouse de bonne taille et parfait au touché, Mon Maître en profite pour demander au vendeur un double dong, ce qui pour le coup me met extrêmement mal à l’aise ! Mes joues se parent de rouge, je souris bêtement, je lui demande pourquoi ?! il me répond tu verras bien, je lui en avais vaguement parlé et cette pensé est présente dans mon esprit depuis mon adolescence, lors du visionnage de requiem for a dream, dans l’une des scènes finales. Cet objet me fait aussi peur que ce qu’il m’excite. J’imagine cette sensation d’être cul à cul avec une autre, de sentir nos mouvements se synchroniser et nos fesses s’entre choquer….

Nous prenons la route du retour, je suis assez fatiguée, arrivé à la maison, je m’installe nue sur mon coussin…

Pour la suite c’est par là

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1 commentaire

  1. […] Pour le début de l’histoire c’est par là […]

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