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Je l’entends s’éloigner me laissant en position de soumission, je me dis qu’il va me laisser ainsi jusqu’à finir sa BD, ce que j’aurai trouvé terriblement excitant.
Mais les bruits provenant de la chambre m’indiquent qu’il est entrain de prendre du matériel, je me dis qu’il va peut être récupérer le bâillon os pour éviter que je continue à déblatérer des bêtises mais pas du tout.
Il me demande si je compte rester habillée encore longtemps, je comprends que c’est le signal pour enlever mon pull, si je ne veux pas récolter quelques coups supplémentaires. Il corrige ma position à l’aide de la badine en métal puis s’amuse à parcourir mon corps avec, c’est froid et ça m’arrache quelques frissons, il joue avec comme une queue de billard sur mon sternum, je prend sur moi pour ne pas trop bouger, la douleur est intéressante, vive et inattendue….
Avec une seconde badine il commence à me frapper de toute part, les côtes, le dos, les cuisses et le ventre. A l’impact de la badine en métal sur le ventre je contracte et me voûte tout en faisant un petit bruit étrange. Il s’en amuse et décide que me faire travailler les abdos est une super idée.
Il m’intime de contracter et il frappe toujours avec la même badine, c’est bête et je ne sais pourquoi mais ça me fait rire, il arrête me demande de contracter mais en me tenant bien droite, il frappe et là un cri sort de ma bouche à la manière d’un Gi Joe se prenant un coup de point dans le ventre. Mon esprit vrille et je pars dans un fou rire sonore, je l’entends rire de son côté, j’essaie de reprendre mes esprits tant bien que mal, deuxième tentative, même cri, c’est fini pour moi, je n’arrive plus à m’arrêter de rire, je me tord de fou rire, les larmes coulent sur mon visage, je sens qu’il essaie de se retenir mais en vain.
Dès que je me relève pour me mettre en position je repars de plus belle, je n’en peux plus, j’ai mal au ventre tellement je ris, ça fait du bien, ça vide la tête et la nervosité, même si en fonction de la réaction du Dom en face ça peut complètement casser la séance.
J’essaie tout, respiration, méditation, penser à autre chose, mais c’est mort ce foutu fou rire ne veut plus me quitter…. Je l’entends s’éloigner et me dire « bon je l’avais pas prévu pour ça mais ça fera l’affaire ».
SURPRISE ! Je sens les picots commencer à s’installer dans ma chair, je suis toujours en position Nadu et il enroule allègrement le barbelé de mon bas ventre jusqu’au haut de mes épaules ce qui a pour effet de me calmer net. Je mouille abondamment, je suis angoissé mais putain qu’est ce que j’aime ça… le goût du risque, me dire qu’au moindre mouvement je peux complètement me lacérer….
Il reprend le balais des badines, et pour le coups je me tiens droite comme un I, respirant juste ce qu’il faut pour ne pas brusquer le barbelé. Il tape avec les badines sur le barbelé, la sensation est dingue, l’angoisse palpable et le plaisir aussi.
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