20/02/2021
Il y a quelques semaines, F&I nous proposent une soirée privée. Dès le matin, Mon Maître et moi choisissons ma tenue, le thème étant « harnais », nous optons pour un harnais noir en cuir ainsi qu’un long voilage en par-dessus pour le début de soirée et pour sublimer le tout, mes cuissardes pleaser permettant de me grandir de 25 cm. Ça fait du bien de se voir de nouveau ainsi, belle, apprêtée, dans ces tenus qui me manquaient temps ! Mon Maître lui sera en pantalon en cuir, chemise noire et le holster que je lui ai offert, il est sublime, rien que le voir dans cette tenue m’excite et il en va de même pour lui à mon égard.
Pour débuter la soirée, les soumises sont assignées au service et à la cuisine, tout de suite, le lien se crée entre nous trois, qui étions des inconnues quelques heures auparavant, on s’entraide, on rigole, on discute, comme si nous nous étions toujours connues.
Très vite, je décide de m’occuper des Dominants qui sont dans le salon afin de m’assurer qu’ils ne manquent de rien, servir leurs verres lorsqu’ils sont vides, leur proposer des amuses bouches en m’agenouillant devant chacun d’entre eux pour les servir. Avant, il était horrible pour moi d’être dans cette situation de servitude, je n’avais aucun mal à me soumettre, mais faire le service, non, c’était trop avilissant psychologiquement et j’estimais que ce n’était pas mon rôle, depuis peu je prends plaisir à être à cette place, me disant que c’est également ça le rôle d’une soumise, j’essaie de rendre Mon Maître fier en lui montrant que je respecte le protocole et ma place.
Nous servons Nos Maîtres à table, s’agenouillant pour leur présenter leurs assiettes, s’inquiétant qu’ils ne manquent de rien. Les soumises ne mangent pas avec les Maîtres, nous sommes sur la table de salon, je pense qu’ils en ont décidé ainsi pour ne pas trop choquer N qui débute, sinon, je me doute que nous aurions mangé à même le sol sans couvert. Je suis tellement enjouée que la faim n’est pas là.
Suite au repas, les festivités peuvent commencer et Mon Maître ne se fait pas prier, il me fait m’installer sur la croix de saint André, m’attache, me bande les yeux en m’attrapant fermement par les cheveux.
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