Pour la première partie c’est par là
Le premier coup s’abat sur ma croupe, j’arrive, tant bien que mal, à ne pas bouger et à compter. Les suivants sont plus durs, je sens que, parfois, les éléments vacillent sur mon dos, mais ça tien. Des coups se font sentir sur mon sexe, qui est complètement offert dans cette position, je ressens son humidité et, une nouvelle fois, je remercie intérieurement mon Maître pour le choix de la cravache. La punition se termine, j’ai les bras engourdis et le corps en alerte.
Je sens mon Maître s’assoir sur le lit, attendant que je lui baise les pieds pour le remercier de m’avoir châtié. Mon cerveau est en ébullition, comment me baisser pour accéder à ses pieds et y poser mes lèvres sans faire tomber les bougies ?… Je sens que mon Maître s’impatiente, plus le temps de réfléchir stratégie, je me lance, baisse un peu les bras, avance la tête, ma bouche se pose et BIM !
Première bougie, que mon Maître rattrape au vol, deuxième pied, deuxième bougie, la chaleur me surprend et mon corps se crispe, la bouteille d’eau tombe au sol, l’eau se répand à terre…. Un enchainement logique qui était à prévoir, je suis même étonnée que ça ne soit pas arrivé avant.
Il n’empêche que mon Maître décide de me sermonner, il m’attrape la tête pour me la mettre dans l’eau, comme on le ferait avec un animal qui a fait ses besoins au mauvais endroit. Je ne me débats pas, je reste interdite, mon visage reposant dans la flaque, ne bougeant pas de peur d’attiser sa colère, attendant l’ordre qui me délivrera. « Nettoie ! », mon Maître me tend deux morceaux de sopalin. Me voilà, à nettoyer à l’aveugle, avec deux pauvres sopalin. Il m’en donne un autre pour terminer le travail et m’ordonne d’aller jeter l’ensemble.
Marcher avec mon bandeau sur les yeux n’est pas chose aisée. J’arrive à bon port, me retourne pour aller à ma place et me retrouve nez à nez avec son torse. Il me positionne contre l’évier dos à lui et s’affaire à ôter la cire de mon corps. Un moment qui résonne chez moi entre érotisme et humiliation, un peu comme si j’étais son jouet qu’il veut propre pour le prochain usage.
[…] La coulure de cire sur mon dos me sort de ma rêverie et je me délecte, malgré la difficulté de ne pas bouger, de sentir cette texture enveloppante parcourir mon corps. Mon maître fait couler une épaisse couche de cire sur chacune de mes épaules et y pose les bougies, ponctuant d’un « Là, ça ressemble un peu plus à une table ! ». J’angoisse. Les bougies sont si proche de mes cheveux, il suffirait d’un infime mouvement pour que tout s’enflamme. Mes bras commencent à me tirer. Je lui exprime ma crainte et je sens un sourire lors de sa réponse, « Il y a de l’eau ! Ça éteindra ! ». Inutile de continuer, il a atteint son but, ce moment où je suis pétrifiée. Il récupère la cravache, d’un côté, je suis rassurée car avec cette objet, je tiens bien les coups, d’un autre, tenir ma punition ainsi affublée, m’angoisse au plus haut point. Et comme l’expérience n’avait pas l’air assez corsé, mon Maître décide que je compterai en anglais.Pour lui la suite c’est par ici […]
[…] Pour le début c’est par ici : Partie 1 l Partie 2 […]