La souris – partie 1

28.03.2020

Toute la journée, j’ai été assez insupportable, je n’ai pas arrêté d’embêter Mon Maître, car je m’ennuyais et j’avais envie de sexe… mais en ayant mes règles, ce n’est pas toujours simple….

En début d’après-midi, nous montons dans la chambre nous reposer. Machinalement, je monte sur le lit et Mon Maître me demande si j’ai demandé la permission, je réponds, joueuse, que c’est ici que je dors tous les soirs… donc, je ne vois pas pourquoi je demanderai l’autorisation. Je me fais remettre à ma place et je dois, dorénavant, demander la permission de venir sur le lit. 

Le jeu est lancé avec cette première humiliation. Mon Maître me demande d’aller aux toilettes pour être sûre que je sois propre car il souhaite jouer avec mon cul cet après-midi. Deuxième pointe d’humiliation…. Je lui demande si je dois changer mon tampon, il répond que non car il souhaite se servir uniquement de mon petit trou. Ô frustration ! Je rêve de la queue de Mon Maître dans ma chatte et je n’aurai pas ce plaisir ? Pour autant, je décide de ne pas râler, car plus je râle moins il y a de chances qu’il change d’avis en cours de route….

Je retourne dans la chambre et Mon Maître me demande de me mettre en position, je m’exécute sans fausse note, je suis à genoux, les fesses reposant sur mes talons, les jambes largement écartées, mes mains posées paume vers le haut et la tête baissée et le dos bien cambré. Il me félicite et me demande de lui donner « un outil », je suis un peu perdu face à cet ordre, parle-t-il d’un sextoys, d’un jouer pour me punir ou de toute autre chose ? Et en plus, il ne répond pas à mes questions et répète en boucle « un outil », c’est excessivement énervant, je me décide à lui tendre la cravache de dressage, il a l’air contenté… 

Je dois me remettre en position, il parcourt mon corps avec la cravache, tantôt caressant, tantôt tapant… j’ose lever les yeux vers lui, il me reprend en me demandant qui m’a autorisé à lever les yeux…. Ça m’excite, je les baisse et m’en excuse, il continue son investigation, frottant la cravache contre mon sexe humide… il est sur le lit, je suis à terre, l’infériorité de la position est un réel moteur d’excitation et participe, dans mon imaginaire, à l’appartenance ! J’ai ce besoin de ressentir et de vivre physiquement la domination. 

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