Extrait du journal de soumission Soirées BDSM

Les Nuits Sattirance, acte 3 – Partie 2

Pour le début c’est par ici

Une belle badine, réalisée par mes soins, avec un manche en olivier, un pommeau de ferrite pour cette badine barbelée.

Je la fais glisser sur le dos de Ma soumise, comme des multiples petites griffes qui lui rayent le cuir, de petit coup par ci par là, la font sursauter, elle gémit, non pas de douleur, mais uniquement de plaisir. Plaisir qui se fait entendre, car une soumise qui regardait jusque-là, se rapproche doucement pour me demander si elle peut venir jouer avec nous. Étant maso (et switch) elle aimerait ressentir la badine qui continue de se promener sur le corps de Léa.

Je lui réponds que non car je ne connais pas son Dom, que je n’ai pas son autorisation, qu’elle ne lui a peut-être même pas demandé l’autorisation de venir nous voir. Fouillant la salle du regard pour retrouver le propriétaire de cette chose « perdu », je trouve le regard de Mr Sattirance, son regard en dit long, entre le « je suis désolé » et le « je suis occupé je la récupère dès que j’ai fini ». C’est un ami, cela me rassure.

La petite chose perdue me demande alors si elle peut soutenir Ma soumise, Je l’y autorise, ces choses se font souvent entre soum. Elle se positionne devant Ma soumise, pour la caresser et apaiser les sévices que je lui fais endurer. Je frappe Ma soumise avec la badine, les impacts sont forts et visibles, des petites perles de sang viennent illuminer ses fesses.

Elle se tend, sa tête se loge contre l’entrejambe de la petite chose qui se met à griffer le dos de Léa pendant que je continue mon œuvre. Léa tremble de désir, sa bouche essaie de se frayer un chemin jusqu’au sexe de sa tortionnaire supplémentaire. La petite chose me regarde en me disant  « elle est gourmande dit donc », tout en donnant accès à l’objet de désir de Léa. La situation est très excitante, il me devient pénible de me concentrer.

Lorsque Léa obtient l’orgasme de la petite chose, Je lui demande de s’écarter, je vais finir Ma soum au fouet. Mais quelques coups suffisent, je sens Léa fébrile et à deux doigts du subspace. Je décide, donc, d’en arrêter là pour le moment et laisser place à l’after care. La soirée est loin d’être fini et je veux encore en profiter au maximum.

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1 commentaire

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