Pour le début de l’histoire rendez-vous ici : Partie 1 l Partie 2
Il me relève m’installe sur le lit, je dois rester bien cambrée, Mon Maître trouve que c’est plus joli. Il me fouille la chatte, le cul, tantôt avec ses doigts, tantôt avec son sexe, il me dit qu’il n’a qu’à approcher son doigt pour être aspiré, que tout rentre tout seul, tellement je suis excitée… Je me sens comme une poupée, un gigantesque trou, il commente mon obscénité me décrivant la scène, mon impuissance et le nombre d’orgasme qui grimpe toujours par ses mouvements et ses mots… Le cerveau se bat encore en plein conflit identitaire… « Tu es à moi, ton corps et ton esprit m’appartiennent » cela n’a jamais été aussi vraie… je ne me débat plus, je n’ai plus la force, je me contente de hurler ou gémir au rythme de ses attaques et de ses mots.
Ma tête tourne, je le préviens, il me couche, je tombe inanimée, petite poupée de chiffon, j’imagine l’esthétisme de la scène, il me caresse, souffle sur mon corps, qui exulte et continue de répondre à ses demandes, il contemple son œuvre je crois…. Mais il n’a pas fini, il me demande de me remettre à quatre pattes dès que je reprends un peu mes esprits, il se lève attrape un objet, le fait parcourir mon corps, « on se cambre », j’exécute, je n’en peux plus… Je reconnais l’objet, le fouet… est-ce vraiment le moment ?
Un premier coup, un nouvel orgasme, pourquoi mon corps réagis ainsi alors que je suis épuisée ? Il enchaine entre coups et enroulés, je jouie de toute façon je ne sais faire que ça… un coup atterrit sur mon sexe, je me mets en boule surprise par la douleur et mêlé à de la jouissance, décidément je n’arriverai jamais à comprendre mes mécanismes… il me rejoint, passe sa main sur ma chatte endolorie, pour apaiser la douleur. Est-ce la fin ? Non, il me plaque contre le lit et entreprend de me baiser une nouvelle fois, j’encaisse sans bouger mais mon corps continue de prendre du plaisir…. J’entends du bruit, je le supplie d’arrêter de peur que nous soyons surpris ainsi, il m’intime de me taire et réaffirme son autorité, j’ai du mal à parler, je bave… en voilà un spectacle…
XXX orgasmes, je ne sais pas jusqu’à quand je peux encaisser, jusqu’où mon corps peut encore tenir parce que de toute façon l’esprit est mort et puis le fouet m’a fait mal… Place à l’euphorie, du nouveau record, des endorphines, mes pupilles dilatées, sa fierté et surtout me blottir dans ses bras encore chancelante pour sentir son amour et son contentement comme le ferait une bonne chienne après avoir réalisée un numéro apprit par son Maître.
Photographie :
Modèles : Wann & Les_ah
Photographe : L’individu