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Il est beaucoup plus doux que Mon Maître dans le maniement de la badine, n’osant pas me faire mal, je lui murmure un vert pour lui demander d’y aller plus fort. Je jette un œil sur C, lui demande sa couleur, elle me donne un orange, Mon Maître fait une pause et décide de martyriser nos tétons, un supplice pour moi qui suis devenu extrêmement sensible sur cette zone.
Il change d’instrument pour continuer à la cravache de dressage sur C, alternant entre ses seins, ses jambes et ses fesses. Laurent lui continue à me flageller avec la badine inox mais la douleur est tout à fait tenable, il s’amuse tantôt sur mes seins, tantôt sur mon cul, j’essaie de le pousser au mieux à jouer plus fort mais je comprends qu’il n’ose pas. C’est la première fois qu’il fait des impacts sur moi et je ne suis pas sa soumise.
Sa Maîtresse se joint à nous et décide de jouer sur moi également avec l’autorisation de Mon Maître, l’histoire se corse, Annick est beaucoup plus redoutable que son mari. En face, C se débat tant bien que mal avec ses émotions, je vois Mon Maître tenter de la faire tenir au mieux en synchronisant sa respiration tout en continuant la flagellation. Son visage est paré de rouge, son regard presque implorant.
De mon côté Annick et Laurent chacun avec une badine s’amuse sur mes seins et mon cul. Je me dandine mais je n’arrive pas à m’empêcher de rire à gorge déployée, ce qui plait moyennement à mes bourreaux et encore moins à Mon Maître, qui d’un coup de main magistral, m’administre deux coups de cravache de dressage, qui m’arrache des cris et me calment tout de suite. En voilà un qui sait me tenir….
Depuis le temps, il a su m’apprivoiser, il connaît le moindre de mes réflexes, chacune de mes réactions à la douleur. Annick s’est absentée et revient l’air triomphant deux cravaches dans les mains, nouveau jeu, utiliser les cravaches en catapulte sur mes tétons, pendant que Laurent continu a la badine, tout de suite la douleur n’est plus la même et je pousse des petits cris entre jouissance et douleur. Puis Annick passe derrière moi et entame de me donner des coups de pied dans le sexe, ce n’est pas douloureux mais pour autant très humiliant.
Cette grande dame, d’un certain âge, est très croyante, elle me donne l’impression de jouer avec la mère supérieure d’un couvant qui punirait une sœur désobéissante. Elle demande par moment à Laurent de me tenir pour mieux sévir.
Du coin de l’œil, je vois Mon Maître détacher C et lui faire un after care, elle est haletante, en larme et je suis heureuse de la voir être partie aussi loin. Une fois remise de ses émotions Mon Maître l’installe non loin et vient s’ajouter aux 4 mains jouant déjà sur moi. Me voilà avec trois bourreaux entrain de vaciller entre douleur et plaisir. Ils me détachent enfin après une séance de flagellation assez intense en termes de rythme.
Nous nous dirigeons ensuite dans l’alcôve de l’entrée pour faire du fire play, Laurent commence sur moi de dos, puis il souhaite me le faire de face. J’angoisse un peu c’est une première sur cette partie du corps, surtout que Mon Maître lui intime de ne pas épargner le sexe, j’angoisse, je suis habituée à cette pratique sur le dos, ça ne fait absolument pas mal, c’est juste chaud mais là, je ne sais pas ce que ça peut donner.
Finalement, plus de peur que de sensations (qui sont identiques à celle du dos). Puis Laurent propose à Mon Maître de s’entraîner sur lui, j’angoisse, pour autant tout se passe bien.
Mon Maître s’en sort avec brio, ce qui laisse entrevoir de belle chose pour nous par la suite.