Il est 16h et mon regard est déjà, entrain de fixer l’horloge digital de mon ordinateur, ce soir nous jouons, j’en suis toute excitée, j’ai cette petite boule au ventre et surtout je ne veux absolument pas être en retard. C’est fou de ressentir encore cela, alors q ue nous jouons ensemble depuis bientôt 2 ans et que je vis avec lui. Je pourrais être lassée, ça pourrait être routinier, mais non, mon envie de lui plaire, mon envie d’être Sa « soumise idéale », mon besoin d’être à ses pieds et de laisser son sadisme et mon masochisme s’épouser tendrement. L’heure passe à une vitesse folle, je fini à temps pour me préparer.
Me voilà nue, agenouillée sur mon coussin dans l’attente. Je suis tellement heureuse, j’ajuste au mieux la position pour lui convenir, mon regard fixé au sol, j’essaie d’apercevoir les préparatifs, que sort il ? Qu’est ce qui guide le flot de ses envies ? Que va t’il faire de cette petite chose fragile qui se livre à ses pieds ? Un bruit me sort de mes rêveries, Mon Maître avance vers moi d’un pas décidé, une badine à la main, je ne peux m’empêcher d’esquisser un sourire. Mais ce n’est pas à son goût, un premier coup s’abat sur mes seins gonflés de désir, puis un second pour m’ôter ce sourire trônant sur mon visage, ça m’arrache quelques rires nerveux, qui ne sont pas non plus à son goût.
En bon dresseur de petite effrontée il me demande de tendre les mains et m’y assène plusieurs coups de badine, ça pique, ça brûle, ça calme, j’essaie de ne pas monter la douleur mais l’exercice n’est pas simple. Suite à ça Mon Maître me bande les yeux et m’ordonne de me lever, ayant remarqué que mes jambes prenaient une couleur indiquant que mes membres s’engourdissaient. Pour aider mon sang à circuler il ne put s’empêcher, toujours dans mon intérêt, de flageller mes jambes avec la badine. Je danse sous les coups, et quelques rire nerveux ne peuvent s’empêcher de sortir de ma bouche.
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