Février 2020 – Lounge Bar CR
Lorsque nous arrivons au CR pour l’acte 3 des nuits Sattirance , l’ambiance est déjà à son maximum. Les gens se sont habillés pour l’occasion, des tenues plus belles les unes que les autres (un minimum pour ces soirées BDSM exceptionnelles). Le temps de faire un tour de salle pour dire bonjour à tout le monde et surtout saluer nos hôtes, les jeux commencent à se mettre en route tout autour de nous. Ma soumise est entièrement habillée de vinyle, les martinets qui résonnent, les fouets qui claquent, je la sens trépigner, elle veut jouer. Je vais au comptoir pour nous prendre un verre, après tout, on a toute la soirée devant nous, je sens que cela la frustre, ce qui confirme que ma décision était la bonne.
Un peu de frustration excite toujours Ma soumise. Il y a beaucoup de matériel, treuille, croix de st André, chevalet, table de gynéco, cage et j’en passe, les « places » se remplissent vite, cette envie de jouer pressante n’est pas que dans la tête de Ma soumise. J’avais remarqué un banc à fessé à notre arrivée, cet outil presque commun dans notre milieu n’est pas des plus sollicité.
Mais c’est un instrument que je n’ai pas chez nous. J’y installe donc Ma soumise. Elle s’y installe et se cambre comme je lui ai appris, je trouve ça plus jolie. Sa croupe offerte pour mes sévices, je commence à sortir le matériel, martinet divers et varié, allant du latex jusqu’aux câbles métalliques. Cette attente fait monter ses envies, sans même avoir commencé à la déshabiller je la sais trempée. J’aime avoir place net, j’enlève donc tout vêtement de Ma soumise qui pourrait me gêner.
Je commence à chauffer son cul avec une fessée, doucement, puis de plus en plus fort, avec des frappes lourdes et fermes, certaines font avancer le banc de quelques centimètres, elle crie, de souffrance mêlé de plaisir avec un petit peu de honte. Son cul rouge, ouvert par la position, offre une vue à l’assistance sur son sexe humide. Je continue mon œuvre avec les divers martinets, je la fait monter en température pour pouvoir jouer sur elle de ma nouvelle badine.
[…] Pour le début c’est par ici […]