6 Août 2021
Après une semaine assez intense, nous prenons la route pour passer un weekend fetish chez notre amie virtuelle (pour l’instant) Apoux.
Le trajet est assez pénible, car nous avons accumulé beaucoup de fatigue ces dernier temps, qu’il y a bouchons sur bouchons et beaucoup d’abrutis sur la route.
Nous arrivons vers 21H, le temps de poser nos valises, cette sensation d’être totalement épuisés avait presque disparu. Nous faisons le tour des gens présents pour leur dire bonjour. Il y a pleins de gens d’insta que nous n’avons encore jamais vu en réel (Apoux qui nous reçoit mais aussi Kinkcypher & Tess, Aentigone et Dzeta,Yesinyx, Elanna, Mademoiselle jou, Maitre des sens) d’autres que nous connaissons déjà comme Wolf et Alice et pleins de gens que nous ne connaissons pas , pourtant, je me sens à l’aise, comme si on était déjà venu.
Nous allons prendre une douche et nous changer, je porte un kilt avec une chemise rouge, Léa a un corset rouge, un boléro de la même couleur est ses immenses cuissardes. Je la trouve vraiment très belle, je sais qu’elle est épuisée mais elle rayonne. J’entends Kink cypher commencer à mettre de la musique, le son est bon. Lorsque nous descendons, les gens sont lookés, éparpillés un peu partout à discuter, faire le barbecue.
Le début de soirée se passe comme tout début de soirée, quelques coups à boire, on papote, on blague, mange un bout, etc.
C’est le moment d’offrir les cadeaux à Apoux (c’est son anniversaire après tout), je lui donne le cerceau qu’elle m’avait commandé et que j’avais réussi à finir pour qu’elle l’ait ce jour en particulier, Maître des sens lui donne le vaccum cube qui est le cadeau commun, Apoux est submergée d’émotions, pourtant ce n’est pas fini, elle fut gâté, mais 30 ans, ça ne se fait qu’une fois.
Maître des sens me demande un coup de main pour monter la vaccube, je laisse donc Léa entre les mains de Wolf et Alice, Elanna nous accompagne pour nous aider.
Lorsque nous redescendons, des ateliers wax play se sont mis en place, de petits cris se font entendre, des cris de surprise, de plaisir, de douleur aussi. C’est le signale pour moi qu’il est l’heure de jouer, j’en ai très envie car avec nos emplois du temps actuel, nous n’avons pas pris le temps de jouer ensemble Léa et moi depuis un peu trop longtemps à mon goût (et au sien aussi, je suppose).
W : Je demande à Léa de se mettre en position, elle se déshabille et se place comme il faut, je lui place son bandeau et j’en profite pour choisir les objets que je vais utiliser sur elle. Ca fait longtemps qu’on n’a pas joué, j’ai envie de beaucoup mais je sais qu’il ne faut pas que j’y aille trop fort, c’est la première soirée, on est fatigués tous les deux et on commence nos vacances le weekend prochain (où l’on va jouer tous les soirs au clair obscur).
L : Il me demande de me mettre en position, mon ventre se noue, ça fait longtemps que nous n’avons pas joué et l’excitation mêlée à l’appréhension sont là. Je me déshabille machinalement, gardant juste un string pour masquer mon intimité, je m’agenouille et me positionne, j’entends Yesinyx s’exclamer que c’est beau. Je me demande ce qu’il va faire, si je vais être à la hauteur de ses espérances, lorsque nous faisons une coupure, c’est comme un sevrage, la douleur ressentie alors lors des séances est plus vive, comme un drogué qui s’est déshabitué de sa cam et ressent de nouveau les effets de la première prise. Il me bande les yeux, mon ventre se crispe un peu plus, mon ouïe se fait plus fine et je commence à mouiller… j’attends….
W : Je prends de quoi attacher Léa par les poignets, les swings latex, les griffes et les foutinnets qu’on a récemment achetés à Folia (j’adore ces martinets). J’attrape fermement Léa par la nuque, la lève et la dirige vers un lampadaire de jardin. Je lui pose les entraves que je mousquetonne à une des volutes du lampadaire. Elle a le dos cambré, les fesses offertes à tout ce que je vais lui faire subir. Je prends les pinces auto-serrantes, celles reliées avec une chaine, je pince un de ces tétons avec, fait le tour du lampadaire pour lui installer la deuxième. Elle se retrouve complètement collée au poteau.
L : L’attente cesse enfin, il m’attrape par la nuque, j’aime sentir cette entrave directive, signe que je dois me lever, je me hisse tant bien que mal sur mes talons de 25 centimètres, je doute que ce soit très gracieux. Il lève mes mains et les attache au réverbère, machinalement, je me cambre pour lui offrir ma croupe dans l’attente des premiers coups. Il m’enserre un téton du bout de ses doigts, sa peau est chaude, la douleur irradie, je souffle, je suis beaucoup trop sensible de cet endroit, je prend sur moi pour ne pas crier. J’entends un cliquetis, celui qui me donne des frissons et me fait peur, celui qui me fait redouter la douleur avant même qu’elle n’arrive, il a sorti les pinces japonaises, qu’on se le dise, ces petits objets sont purement et simplement de la torture ! Il y glisse un téton, puis l’autre, la douleur est vive et je sens mes yeux commencer à s’embuer alors que ce n’est que le début. Me voilà encore plus contrainte, je me persuade que si je ne bouge pas la chaînette ne tirera pas sur le réverbère et donc ne se resserrera pas sur mes tétons. Il est sadique je le sais, et il sait autant que moi que je suis incapable de ne pas gigoter sous les coups, là il me prive de ces mouvements m’obligeant à subir docilement la suite.
W : Je commence par les swings en latex pour lui chauffer la peau, les coups s’enchaînent à plus ou moins grande vitesse, tout comme la force que j’y mets. Je m’approche régulièrement pour lui caresser le dos et les fesses, le temps que la douleur et les impacts s’estompent. Elle en profite pour me donner son safe word pour les pinces à seins, elle les supporte mal en ce moment. Je les détache de ses seins pour les attacher à son collier, la chaîne faisant toujours le tour du poteau, ça ne change en rien sa position. Je profite d’être à ses côtés pour passer délicatement les griffes sur son dos et le long de sa colonne, je sens l’odeur de sa mouille, je lui fais doucement remarquer ce qui lui déclenche son premier orgasme.
L : Le jeu commence, le latex s’écrase sur ma peau, la douleur est douce, je sais qu’il chauffe pour que j’endure plus après, je prends plaisir, essaie de faire abstraction des horribles pinces qui trônent sur mes tétons. De temps à autre il s’approche pour flatter de sa main la créature qui s’offre à ses supplices, quelques râles de satisfactions échappent de ma bouche, il continue de me flageller à des vitesses et forces différentes, je mouille, c’est bon, les sensations m’avaient manquées, cette impression de faire corps grâce à l’objet qu’il me fait subir, il donne des coups, je lui offre des émotions. J’ai beau souffler et me concentrer mais la douleur sur mes seins est devenue insupportable au point de ne plus pouvoir subir sereinement ses assauts. Il s’approche, je chuchote orange, il s’étonne, je lui confie que je ne parle pas des latex mais des pinces. Il sait que je les supporte mal, alors qu’avant je pouvais les porter des heures…. Il entreprend de me les enlever, la douleur est pire quand le sang recircule, il masse mes seins endolories, je geins de nouveau, j’ai mal… Il me fait remarquer qu’il sent l’odeur de ma mouille, je n’en doute pas un instant et me surprend à penser que si il le sent, peut être que d’autres peuvent le sentir, la honte et la douleur se mélangent pour faire éclore un premier orgasme libérateur. La griffe lacère mon dos, cet objet est un délice.
W: Je distingue deux personnes assises près de la valise à jouet (je saurai plus tard que c’était Sensual Snake et Jou), je me dis qu’elles ont dû sentir les latex de près et donc je décide de pousser la mallette pour avoir un peu plus d’espace. Ayant mal refermé la mallette, elle roule sur 30cm et se renverse complètement. Et merde, ne pas arrêter pour autant, je pousse vite fait ce qui me gêne et je commence doucement à donner des coups de foutinet sur le bas du dos de Léa et sur ces fesses. J’alterne entre le Foutinnet droit et le gauche, je fais des enroulés ou j’essaye que leurs fin de course se termine sur ses seins, je me reconcentre sur ces fesses, la gestuel est fluide malgré la fatigue, je m’essaye à la florentine, ça passe tout seul. Je me concentre sur ce que je fais, tout en surveillant la moindre réaction de Ma soum qui se dandine. Je dois également garder en tête de ne pas me laisser emporter par l’envie d’y aller plus fort, je sais que les foutinnets peuvent laisser de grosses traces. Je me plaque contre elle, lui serrant le cou d’une main et donnant des claques sur son cul de l’autre. Je lui susurre à l’oreille quelques mots pour l’humilier, lui disant qu’elle mouille, que cela se sent et que tout le monde la regarde, elle jouit, je lui donne l’ordre de jouir, elle jouit, « ENCORE », elle jouit encore.
L : Il part, j’entends un bruit, mais je suis trop occupé par la douleur sur mes tétons toujours omniprésente, l’attente encore, mais peu importe ça me convient ça me permet de souffler, mon cerveau étant à moitié off à cause de ce premier orgasme. La musique passée en fond est excellente et me plonge totalement dans mon univers, il n’y a aucun doute je suis dans ma bulle car mon cerveau n’interprète quasi plus les bruits de fond. Un nouvel impact, les foutinnets, ça chauffe, ça brûle, ça fouette et c’est bon. Je mouille abondamment et regrette d’être si proche d’autres personnes pour ne pas pouvoir sexualiser la séance car à cet instant j’ai envie de Mon Maître plus que tout. Je me délecte de chacun des impacts atterrissant tantôt sur mes seins, tantôt sur mon cul, j’ai envie de plus, plus fort, je veux tomber. Mais je ne dis rien, nous avons plusieurs jours de jeux devant nous, inutile de tout gâcher avec cette envie qui pourrait nous empêcher de pratiquer sur les autres jours. Il s’approche de moi, m’étrangle d’une main, j’adore ça, me sentir frêle, incapable de me débattre, à sa merci. Il s’affaire à me donner une fessée magistrale et je crois même ressentir des coups de poings, une telle violence m’excite, mon plaisir et le sien sont à l’unissons, je sens son sexe dur au travers de son kilt. Je jouis plusieurs fois, je suis chancelante, mais j’ai envie, encore…. Il me détache à mon grand étonnement mais je sais qu’il m’économise pour la suite.
W : Je la prends dans mes bras, la détache et nous nous asseyons pour qu’elle reprenne ses esprits, gentiment. L’aftercare fini, je m’emploi à rassembler mes affaires tombées de la mallette. La soirée continue près du brasero, à discuter, boire et rigoler avec tous ces nouveaux amis jusqu’à 5h30 du matin, du moins pour nous.
Photographie : L’individu
Modèles : WannxLes_ah
La suite dans quelques jours 🙂
Waouh 🤩 c’est beau à lire. Autant d’un côté que de l’autre.
Merci beaucoup <3
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Je suis bien du même avis que Elanna. J’adore être à la place de Léa et que ma Maîtresse me fasse souffrir en public. J’ai eu le plaisir aussi d’être attaché par les tétons de la même façon. Avant, je ne supportais pas qu’on touche à mes tétons mais maintenant, j’aime porter des pinces japonaises même si elles me font beaucoup souffrir.
Et c’est encore plus une torture pour moi de lire ce récit car je dois attendre encore 2 jours pour revoir ma Maîtresse pour qu’elle me fouette. Ce récit m’excite terriblement mais je ne peux me faire jouir avant que ma Maîtresse m’y autorise. Hummm, terrible torture. J’ai du mal à me retenir.