19/02/2022
Je me réveillais ce matin, ma main se baladant entre mes cuisses, un sourire au lèvre, probablement un rêve ayant titillé mes instincts pendant la nuit et ayant invité mes mains à caresser mon intimité.
Je me blottis contre Mon Maître, profitant des câlins matinaux marquant le début du week-end. Après quelques câlins chastes ma main se faufile vers son sexe, qui, tout endormie, n’a pas vraiment l’air de vouloir obtempérer. Peu importe, je me rassasierai probablement plus tard dans la journée, pour le moment je profite de la douceur que m’offre ce samedi matin. Je raconte à Mon Maître, l’état dans lequel je me suis réveillée et cela semble l’amuser.
Mon Maître m’ordonne d’aller préparer le café, chose que je fais sans rechigner. Il arrive, se poste à la fenêtre pour fumer sa première cigarette, je le rejoins nos deux mug fumant dans les mains.
On papote, on échange, tous deux joviaux en ce début de journée. Et c’est là que, sans mot dire, il tendit son genoux vers moi, le faisant effleurer mon sexe déjà gonflé de désir par cette masturbation nocturne.
« Frotte-toi, je sais que tu aimes ça », je pose mon sexe sur son genoux et commence à m’activer, non sans gêne, je ferme les yeux, ne voulant pas, de honte, faire face à son regard. Cette scène, je l’ai rêvée des milliers de fois, qu’on m’ordonne de me frotter comme une petite chienne obéissante, je ne l’ai jamais verbalisé, je déteste donner mes fantasmes de peur qu’ils soient déceptif, mais, là, le fantasme et la réalité s’emmêle.
Mon sexe gonfle à chaque coup de bassin que je donne, je sens sa peau devenir humide sous ma mouille, je tente de me retirer, honteuse et ne voulant pas le souiller de mes sécrétions.
Il me regarde durement et m’intime fermement de continuer, mon cœur balance entre stopper là l’humiliation et continuer pour laisser venir la jouissance. Mon amour du sexe et mon besoin d’être une bonne soumise l’emporte, je recommence honteuse à me frotter sur lui, mon dieu que c’est bon, mon dieu que c’est humiliant, j’adore ça.
Je ferme les yeux toujours plus fort, me laissant emporter par ses mots crus, me ramenant à ma condition, « vicieuse », « petite chienne » autant de choses qui nourrissent mon imaginaire.
J’ai rêvé bien souvent de cette même scène, de Mon Maître me demandant de me soulager de la sorte, lui se délectant du spectacle, moi mourant de honte, j’ai aussi rêvé de cette même situation entourée de monde, devant me masturber sur le bout de sa rangers, en bonne petite chienne lubrique.
Je ne jouis pas habituellement quand je me frotte, mais l’humiliation et ses mots aidant, je sens petit à petit mes jambes me lâcher pour laisser place à un fabuleux orgasme.
Je m’effondre à genoux devant lui, ma tête reposant sur son genoux souillé de ma mouille, va-t’il me demander de le nettoyer à l’aide de ma langue ? Il n’en fait rien, il préfère que ma langue s’active à un autre endroit, me prenant par les cheveux pour m’ordonner de le sucer.
Ma bouche prend possession de sa verge, ma langue s’enroule sur son gland entre deux mouvements de va et vient. J’en veux plus, mon sexe dégouline, ma bouche s’active plus fort, la bave nous inondes littéralement, je le veux en moi, je veux qu’il pénétre sauvagement ma bouche, je veux me sentir asphyxié par sa verge et ses va et vient.
Je me perd dans cet appétit démesuré, me provoquant des hauts le cœur, mais après une courte pause, je m’y remet de plus belle, laissant sa verge me remplir, c’est bon et ça fait mal, c’est avilissant et exaltant, j’aime le servir ainsi.
De mon autre main, j’en profite pour me masturber, je suis clairement en chaleur, ma chatte le réclame aussi, mais je sais que je ne l’aurai pas, il aime trop ma bouche pour l’abandonner.
Il me pilonne, me laissant parfois me dégager pour reprendre mon souffle, ma bave nous inonde, je ressens un énorme plaisir à lui servir en quelque sorte de sextoys, j’aime plus que tout le sentir se servir de moi, quand sa queue m’échappe, je réclame, la bouche grande ouverte, la langue sortie, il replonge en moi de plus belle, sa queue se gonfle et finit par se vider dans ma bouche et sur mon visage.
Je reste un peu là, à ses pieds, reprenant mes esprits suite à ce bout de fantasme devenu réalité.