Bonjour mon père, j’aimerai me confesser… j’ai commis quelques péchés de chair, il parait que je peux être une vilaine fille… des je vous salue marie vous dites ? Ne pensez-vous pas quelques flagellations seraient plus indiquées ?
Octobre 2020 – Dans une chapelle privatisée pour l’occasion
Un seul regard suffit pour que je comprenne, mécanisme acquit lors de ces mois à ses côtés. Je m’excuse auprès des personnes avec qui je discutais pour aller jusqu’à l’endroit qu’il m’avait indiqué. Machinalement, je me déshabille, sans prêter attention à ce qui se passe autour car, c’est comme ça qu’il aime que je sois. Je me mets en position, les jambes ouvertes, le dos cambré, la tête basse et je l’attend.
Il me demande de me mettre debout et de me tenir solidement en conservant une position cambrée. Je ne suis pas attachée et j’avoue redouter lorsque rien ne me tien, plusieurs de mes sub space étant allé jusqu’à la perte de connaissance, j’ai toujours peur de ne pas arriver à me tenir et je sais que sans être attachée je vais avoir plus de mal à partir. Il ne me bande pas les yeux, mais, instinctivement je les ferme pour mieux être dans ma bulle.
Je le sens derrière moi, me toiser, choisir quel sera le premier instrument qui s’écrasera sur ma croupe. Le premier coup part, je ne bouge pas, j’encaisse et je reste silencieuse sous le regard des autres pour le rendre fier.
Après une longue flagellation au martinet, sans un son sortant de ma bouche, il m’attrape fermement et me colle contre son corps, d’une main il me maintien la tête, de l’autre il fait glisser sur ma peau le barbelé, il embrasse, il caresse et il martyrise, avide je chuchote des « Encore, s’il vous plaît Maître ». Je sens la peau s’ouvrir, le sang perler, j’exulte, je jouis, je l’aime…
Photo : Wann & L’oeil discret
